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IN THE MOOD FOR DEAUVILLE 2025 - Page 90

  • Master class du Festival du Film Asiatique de Deauville 2011: regards sur le travail de Kim Jee-woon

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    Le Festival du Film Asiatique de Deauville 2011 dont je vous rappelle qu'il aura lieu cette année du 9 au 13 mars, que son jury sera présidé par Amos Gitaï, et qu'il rendra hommage au cinéaste sud-coréen Hong-Sangsoo se penchera cette année sur le travail du cinéaste sud-coréen Kim Jee-woon, qui reviendra à Deauville après avoir remporté le Grand Prix Action Asia en 2006 pour son film « A Bittersweet Life ». Kim Jeewoon donnera une Master Class exceptionnelle ouverte au public, le samedi 12 mars
    à 13h00, au CID (salle Lexington). Par ailleurs, l'intégralité de ses films sera projetée durant ces 5 jours !

    Filmographie:

    1998 : The Quiet Family

    2000 : The Foul King

    2003 : Deux Sœurs

    2005 : A Bittersweet Life

    2008 : Le Bon, la Brute et le Cinglé

    2010 : I Saw the Devil

    Projets

    2011 : Last Stand

     Pour en savoir plus sur le Festival du Film Asiatique de Deauville 2011, rendez-vous sur le site officiel du Festival du Film Asiatique de Deauville.

  • Programme et jury du 13ème Festival du Film Asiatique de Deauville

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    sp.jpgComme chaque année, vous trouverez ici toutes les informations concernant le Festival du Film Asiatique de Deauville auquel j'assiste depuis ma participation à son jury de cinéphiles, en 2005, et d'ailleurs même bien avant...un festival qui s'améliore d'années en années et que vous pourrez bien sûr suivre ici comme chaque année ainsi que sur mon blog quotidien principal "In the mood for cinema", vous pourrez également trouver de bonnes adresses deauvillaises sur "In the mood for luxe".

     Cette 13ème édition ne devrait pas déroger à la règle puisque, si nous savions déjà que le festival aurait lieu du 9 au 13 mars, nous venons d'apprendre qu'Amos Gitaï présiderait le jury  et qu'un hommage serait rendu au cinéaste coréen Hong Sangsoo. En collaboration avec la Cinémathèque Française l'intégralité de son oeuvre sera d'ailleurs projetée à cette occasion (cf sa filmographie en bas de cet article).

     Enfin, je vous invite à découvrir ci-dessus le charmant visuel de cette édition 2011 sur laquelle vous pourrez également avoir tous les renseignements nécessaires en vous rendant sur le site officiel du festival.

    Pour plus d'informations, vous pouvez également vous inscrire à la page Facebook officielle du festival mais aussi sur la page Facebook d'In the mood for Deauville et sur celle d'Inthemoodforcinema.

    Par ailleurs vous pourrez suivre le festival en direct et recevoir toutes les informations en amont en suivant mon compte twitter dédié aux festivals de Deauville: http://twitter.com/moodfdeauville . Je vous tiendrai bien entendu de la suite de la programmation et des noms des autres membres du jury dès leurs annonces.

    Filmographie de Hong Sangsoo

    1996 : Le Jour où le cochon est tombé dans le puits

    1998 : Le Pouvoir de la province de Kangwon

    angs2000 : La Vierge mise à nu par ses prétendants

    2003 : Turning Gate

    2003 : La femme est l'avenir de l'homme

    2005 : Conte de cinéma

    2007 : Woman on the Beach

    2008 : Night and Day

    2009 : Les femmes de mes amis

    2010 : Hahaha

  • L'actualité cinéma de la semaine

    Ce qu'il ne fallait pas manquer dans l'actualité cinéma cette semaine, outre l'actualité deauvillaise. Cliquez sur les titres pour accéder à mes articles.

    Oscars 2011: les nominations

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    Jury et programme de la 61ème Berlinale

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    "Hors-la-loi" de Rachid Bouchareb en lice pour les Oscars 2011

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    Master class de Nathalie Baye présentée par François Bégaudeau au Gaumont Parnasse: compte rendu et vidéos

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    Concours "Le temps presse": le palmarès, le compte rendu et le prix des blogueurs

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    Palmarès du FIPA de Biarritz 2011

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    Découvrez le Festival Internation au Premier Film d'Annonay à l'occasion de sa 28ème édition

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    Palmarès complet du Festival Premiers Plans d'Angers 2011

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    Palmarès du 14ème Festival International du Film de comédie de l'Alpe d'Huez

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    Retrouvez également l'actualité sur In the mood for Cannes et In the mood for luxe.

  • Deauville fête la Saint Valentin avec un concours de lettres d’amour sous le parrainage de Claude Lelouch

     

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    En 2011, février s’arroge le titre du "mois des sentiments amoureux" ; un mois parfait pour célébrer le bonheur en Normandie, deuxième thème choisi pour rendre hommage au 1100è anniversaire de la fondation du Duché de Normandie. Deauville offre naturellement le décor romantique de cette édition de la Saint-Valentin toujours sous l’œil affuté de Claude Lelouch qui en sera le parrain légitime. Cette année nous quittons la plage, les mouettes, le bruissement des drisses le long des mats pour l’intimité rougeoyante du théâtre à l‘italienne du Casino de Deauville, lui aussi très "glamour".
    Les variations sentimentales se déclameront sur scène. Les voix célèbres d’artistes normands de sang ou de coeur liront des lettres d’amour, des textes illustres mais aussi les vôtres façonnés à l’aune de votre inspiration et dédiés à un être cher.


    Participez au concours d’écriture de lettres d’amour via le site de la ville www.deauville.fr; il est ouvert à tous et couronnera cinq missives.
    Les cinq auteurs seront conviés pour asister au spectacle et leurs lettres seront lues sur la scène du théâtre du casino.
    Parmi eux, un lauréat se prélassera, avec la personne de son choix, tout un week-end à l’hôtel Normandy. Chabadabada…
     
    Le spectacle :
    dimanche 13 février 2011 à 15h30 - Théâtre du Casino Barrière
    Gratuit sur réservation : inscription à l'Office de Tourisme au 02 31 14 40 00 ou sur http://www.deauville.fr.
     
    Le concours :
    Pour participer, rendez-vous sur http://www.deauville.fr jusqu'au 7 février

     En bonus, retrouvez ci-dessous mes critiques de "Un homme et une femme" et "Ces amours-là" de Claude Lelouch

    Critique de "Un homme et une femme" de Claude Lelouch

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    Je ne sais plus très bien si j'ai vu ce film avant d'aller à Deauville, avant que cette ville soit indissociablement liée à tant d'instants de mon existence, ou bien si je l'ai vu après, après que mon premier séjour à Deauville, il y a 17 ans, ait modifié le cours de mon « destin »... Toujours est-il qu'il est impossible désormais de dissocier Deauville du film de Claude Lelouch qui a tant fait pour sa réputation, « Un homme et une femme » ayant créé la légende du réalisateur comme celle de la ville de Deauville, et notamment sa réputation de ville romantique à tel point qu'il y a 4 ans, pendant le Festival du Cinéma Américain 2006, a été inaugurée une place Claude Lelouch, en sa présence et celle d'Anouk Aimée. J'étais présente ce jour-là et l'émotion et la foule étaient au rendez-vous.

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    Alors sans doute faîtes-vous partie de ceux qui adorent ou détestent Claude Lelouch, ses « instants de vérité », ses hasards et coïncidences. Rares sont ceux qu'il indiffère. Placez son nom dans une conversation et vous verrez. Quelle que soit la catégorie à laquelle vous appartenez, peut-être ce film « d'auteur » vous mettra-t-il d'accord...

    Le 13 septembre 1965, Claude Lelouch est désespéré, son dernier film ayant été un échec. Il prend alors sa voiture, roule jusqu'à épuisement en allant vers Deauville où il s'arrête à 2 heures du matin en dormant dans sa voiture. Réveillé le matin par le soleil, il voit une femme depuis sa voiture, étonné de la voir marcher avec un enfant et un chien. Sa « curiosité est alors plus grande que la tristesse ». Il commence à imaginer ce que peut faire cette femme sur cette plage, avec son enfant, à cette heure matinale. Cela donnera « Un homme et une femme ».

    Synopsis : Anne (Anouk Aimée), scripte, inconsolable depuis la mort de son mari cascadeur Pierre (Pierre Barouh), rencontre à Deauville, en allant chercher sa fille à la pension, un coureur automobile, Jean (Jean-Louis Trintignant), dont la femme s'est suicidée par désespoir. Jean raccompagne Anne à Paris. Tous deux sont endeuillés, et tous deux ont un enfant. C'est l'histoire d'un homme et d'une femme qui s'aiment, se repoussent, se retrouvent et s'aiment encore...

     J'ai vu ce film un grand nombre de fois, tout à l'heure encore et comme à chaque fois, avec le même plaisir, la même émotion, le même sentiment de modernité pour un film qui date de 1966, étonnant pour un cinéaste dont beaucoup de critiques raillent aujourd'hui le classicisme. Cette modernité est bien sûr liée à la méthode Claude Lelouch d'ailleurs en partie la conséquence de contraintes techniques et budgétaires. Ainsi, Lelouch n'ayant pas assez d'argent pour tourner en couleurs tournera les extérieurs en couleurs et les intérieurs en noir et blanc. Le montage et les alternances de noir et blanc et de couleurs jouent alors habilement avec les méandres du temps et de la mémoire émotive, entre le présent et le bonheur passé qui ressurgit sans cesse.

    Je ne sais pas si « le cinéma c'est mieux que la vie » mais en tout cas Claude Lelouch fait partie de ceux dont les films et surtout « Un homme et une femme » nous la font aimer.  Rares sont les films qui donnent à ce point la sensation de voir une histoire d'amour naître et vibrer sous nos yeux, d'en ressentir -partager, presque- le moindre battement de cœur ou le moindre frémissement de ses protagonistes, comme si la caméra scrutait les visages et les âmes. Par une main qui frôle une épaule si subtilement filmée. Par le plan d'un regard qui s'évade et s'égare. Par un sourire qui s'esquisse. Par des mots hésitants ou murmurés. Par la musique éternelle de Francis Lai (enregistrée avant le film) qui nous chavire le cœur. Par une photographie aux accents picturaux qui sublime Deauville filmée avec une lumière nimbée de mélancolie, des paysages qui cristallisent les sentiments de Jean-Louis et d'Anne, fragile et paradoxalement impériale, magistralement (dirigée et) interprétée par Anouk Aimée. Rares sont les films qui procurent cette impression de spontanéité, de vérité presque. Les fameux « instants de vérité » de Lelouch.

    Et puis il y a le charme incomparable du couple Anouk Aimée/ Jean-Louis Trintignant, le charme de leurs voix, notamment quand Jean-Louis Trintignant prononce « Montmartre 1540 ». Le charme et la maladresse des premiers instants cruciaux d'une histoire d'amour quand le moindre geste, la moindre parole peuvent tout briser. Et puis ces plans fixes, de Jean-Louis dans sa Ford Mustang (véritable personnage du film), notamment lorsqu'il prépare ce qu'il dira à Anne après qu'il ait reçu son télégramme. Et puis ces plans qui encerclent les visages et en capturent la moindre émotion. Ce plan de cet homme avec son chien qui marche dans la brume et qui  fait penser à Giacometti (pour Jean-Louis). Tant d'autres encore...

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     Avec « Un homme et une femme » Claude Lelouch a signé une histoire intemporelle, universelle avec un ton très personnel et poétique. La plus simple du monde et la plus difficile à raconter. Celle de la rencontre d'un homme et une femme, de la rencontre de deux solitudes blessées. Il prouve que les plus belles histoires sont les plus simples et que la marque du talent est de les rendre singulières et extraordinaires.

    Alors pour reprendre l'interrogation de Jean-Louis dans le film citant Giacometti « Qu'est-ce que vous choisiriez : l'art ou la vie » Lelouch, n'a certainement pas choisi, ayant réussi a insufflé de l'art dans la vie de ses personnages et de la vie dans son art. Voilà c'est de l'art qui transpire la vie.

    Alors que Claude Lelouch a tourné sans avoir de distributeur, sans même savoir si son film sortirait un jour, il obtint la palme d'or à Cannes en 1966, l'oscar du meilleur film étranger et celui du meilleur scénario et 42 récompenses au total et aujourd'hui encore de nombreux touristes viennent à Deauville grâce à « Un homme et une femme », le film, mais aussi sa musique mondialement célèbre. Vingt ans après, Claude Lelouch tourna une suite « Un homme et une femme 20 ans déjà » réunissant à nouveau les deux protagonistes.

    Critique de "Ces amours-là", la flamboyante déclaration d'amour au cinéma de Claude Lelouch:

     

    Lelouch. Prononcez ce nom dans un dîner et vous verrez immédiatement l’assistance se diviser en deux. Les adorateurs d’un côté qui aiment : ses fragments de vérité, ses histoires d’amour éblouissantes, sa vision romanesque de l’existence, sa sincérité, son amour inconditionnel du cinéma, ses phrases toutes faîtes et récurrentes, une musique et des sentiments grandiloquents, la beauté parfois cruelle des hasards et coïncidences. Les détracteurs de l’autre qui lui reprochent son sentimentalisme et tout ce que les premiers apprécient, et sans doute de vouloir raconter une histoire avant tout, que la forme soit au service du fond et non l’inverse. Avec « Roman de gare », les seconds s’étaient rapprochés des premiers, mais pour cela il aura auparavant fallu que le film soit au préalable signé d’un autre nom que le sien. Avec « Ces amours-là »,  il ravira sans doute à  nouveau les premiers et agacera certainement les seconds, ce dernier film réunissant tout ce qui définit son cinéma. Et c’est bien normal puisque ce film est le cadeau qu’il s’est offert et qu’il offre à son public pour ses cinquante ans de carrière.

     

    Pour évoquer ces cinquante ans de cinéma, il nous invite à suivre le destin flamboyant d’Ilva (Andrey Dana),  ses malheurs et ses bonheurs démesurés sur cinq décennies d’histoire. Pour Ilva l’amour est plus important que tout. C’est par la plaidoirie de son avocat (Laurent Couson) et au rythme d’un orchestre symphonique que son destin, fait de bonheurs et tragédies tout aussi romanesques, nous est conté.

    Des premiers plans en noir et blanc qui évoquent les débuts du cinéma au dernier sur les spectateurs sortant d’un cinéma projetant « Ces amours-là » , ce dernier film de Claude Lelouch est avant tout un hommage au cinéma, une manière de remercier son public de sa fidélité (l’exergue puis le dernier plan leur sont ainsi destinés), de faire le bilan de son existence cinématographique, lui, l’enfant juif que sa mère cachait dans un cinéma pendant la guerre et qui verra ainsi naitre sa passion et sa dévotion pour le cinéma qui non seulement illuminera sa vie mais la sauvera.  Il s’amuse avec la mise en abyme pour nous parler de son histoire, d’histoires vraies qui l’ont marqué, mais aussi du cinéma qu’il aime.

     Le père d’Ilva (Dominique Pinon) est projectionniste, beau prétexte pour évoquer les débuts du parlant avec « Le chanteur de jazz » ou pour nous montrer des extraits de classiques du cinéma : « Remorques » de Jean Grémillon, « Autant en emporte le vent » de Victor Fleming, « Le Jour se lève » et  « Hôtel du Nord » de Marcel Carné sans parler d’une affiche très à propos du « Crime était presque parfait » d’Hitchcock.  Et c’est avant tout ce qui m’a plu dans ce nouveau film : sa passion du cinéma qui transpire dans chaque plan, sa volonté de la partager avec nous, son regard toujours alerte et curieux, presque candide. Tant pis si cette naïveté, certes parfois maladroite, en hérisse certains.

    L’amour du cinéma donc, un amour du cinéma qui passe par celui des acteurs. Et c’est là qu’il m’a bluffée. Dans ces scènes plus intimes ou ses fameux fragments de vérité et où l’émotion affleurent et nous emportent. Qu’importe si « Ces amours-là » souffre de quelques baisses de rythme, si la musique force parfois un peu trop l’émotion, si Claude Lelouch ne s’embarrasse pas de psychologie, il dessine la vie en grand, en romanesque et le jeu de ses acteurs qu’il dirige si habilement nous y fait croire (on comprend alors aisément le générique impressionnant des acteurs qui ont tourné pour lui et qui apparaissent à la fin).

     

     Que ce soit dans une boîte de jazz avec Audrey Dana, Gilles Lemaire et Jacky Ido (ce dernier est pour moi LA révélation) où plus rien d’autre, malgré la foule et le bruit, ne semble exister que leurs sentiments naissants ou au siège de la Gestapo entre Samuel Labarthe, nazi jouant la Marseillaise et Audrey Dana  (qui m’a rappelée la fameuse scène de la Marseillaise dans « Casablanca » de Michael Curtiz), Lelouch nous fait retenir notre souffle comme si la scène se déroulait réellement sous nos yeux, sans doute l’effet de sa fameuse méthode qui consiste à souffler le texte aux acteurs pour créer l’effet de surprise. Des acteurs filmés en gros plan dont sa caméra bienveillante traque l’éclat, l’émotion, la vie, la faille, la magie.       Raphaël fait ses débuts plus que prometteurs de même que le musicien Laurent Couson, Dominique Pinon devient à nouveau beau sous l’œil de Claude Lelouch, Judith Magre et Anouk Aimée nous émeuvent en quelques plans. Audrey Dana confirme la confiance que Lelouch a placée en elle, invariablement juste, incarnant ce personnage à la fois courageux et désinvolte, grave et insouciant, volontaire et soumis aux hasards de l’existence. Et il en fallait du culot pour dire à des Français de jouer des Allemands ou des Américains et de l’audace pour prétendre retracer 50 ans d’Histoire en deux heures, et pour tourner le tout en Roumanie.

    Avec « Ces amours-là », Lelouch signe une fresque nostalgique ; une symphonie qui s’achève sur une note d’espoir ; la bande originale de son existence cinématographique qui évite l’écueil du narcissisme en guise de remerciements au cinéma, à la musique, à son public, à ses acteurs ; un film joliment imparfait qui met en exergue les possibles romanesques de l’existence ; un film jalonné de moments de grâce, celle des acteurs avant tout à qui ce film est une déclaration d’amour émouvante, passionnée et de ce point de vue entièrement réussie.

    Et pour le plaisir, une de mes scènes lelouchiennes préférée dans laquelle éclate tout son talent de directeur d’acteurs.

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    Lien permanent Catégories : CONCOURS 0 commentaire Imprimer Pin it!
  • L'essentiel de l'actualité cinéma de la semaine

    Voilà ce qu'il fallait retenir de l'actualité cinéma cette semaine. Cliquez sur l'intitulé des articles pour y accéder.

    Critique d' "Au-delà" de Clint Eastwood

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    Jury du millénaire : ma sélection

     

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    "Les Enchaînés" d'Alfred Hitchcock à la Filmothèque du Quartier Latin

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    "Le Guépard" de Luchino Visconti à lla Filmothèque du Quartier Latin

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    Première d' "Une journée ordinaire" au théâtre des Bouffes Parisiens avec Anouchka et Alain Delon

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    Les nominations aux César 2011

     

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    Les semi-finalisres à l'Oscar du meilleur film étranger: "Des hommes et des dieux" évincé

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    "127 heures" ou l'insupportable contre-sens et faute de goût de Danny Boyle

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    Palmarès des Golden Globes 2011

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  • En 2011 Deauville célèbre la Normandie: projections de films sur la Normandie

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    En attendant les premières informations sur le Festival du Film Asiatique de Deauville 2011, sachez qu'à l'occasion des 1100 ans de la Normandie, "Deauville célèbre la Normandie". Ainsi, chaque mois des projections de films ayant pour thème la Normandie seront organisées au cinéma du Casino. Des projections gratuites sur inscription qui commenceront le mardi 25 janvier à 21h avec le film "les Vikings" de Richard Fleischer avec Kirk Douglas et Tony Curtis. Suivront en février le film "Rumba" puis en mars "Un pont entre deux rives" de Gérard Depardieu. Tous les détails sur http://www.deauville.fr/FR/agenda/?arr_id_deau=137#1

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