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cinéma - Page 10

  • Critique de "The land of hope" de Sono Sion et hommage à Sono Sion (Festival du Film Asiatique de Deauville 2013)

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    Je vous parlerai ultérieurement des films vus en compétition hier et desquels se dégage une thématique commune et un désespoir commun…dont ne s’éloigne d’ailleurs pas vraiment le film dont je vais vous parler aujourd’hui (qui n’est pas en compétition) même s’il surpasse, et de loin, les autres films vus, et pour cause puisque c’est l’œuvre d’un cinéaste confirmé à qui le festival rendait hier hommage : Sono Sion (cf ma vidéo de l'hommage à suivre, en ligne dans la journée). A son hommage a succédé la projection de « The land of hope », un film de ce dernier datant de 2012 et qui sortira en France en avril prochain.

    L’an passé, en compétition, le festival avait projeté « Himizu » du même Sono Sion, film que je qualifiais alors d’une rageuse, fascinante, exaspérante et terrifiante beauté. Les premiers plans, effroyables, nous plongeaient dans le décor apocalyptique de l’après tsunami exploré par de longs travellings, mais le chaos n’était alors pas seulement visuel, c’était surtout celui qui rongeait, détruisait, étouffait les êtres ayant perdu leur identité et tout espoir.

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    Ce nouveau long-métrage de Sono Sion commence de manière plutôt inattendu : d’abord par son classicisme (relatif, mais du moins pour Sono Sion, moins dans la folie et l’explosion visuelles, ici) et ensuite parce qu’il met en scène un cadre bucolique, des couleurs chatoyantes et des personnages heureux. Evidemment, cela ne va pas durer et la réalité, tragique, terrible, celle du Japon que Sono Sion, films après films, dissèque et dénonce, va ressurgir avec un tremblement de terre qui frappe alors le Japon. Il entraîne l’explosion d’une centrale nucléaire. Sans vraiment en donner la raison, le gouvernement fait évacuer les habitants à proximité de la catastrophe. La famille Ono dont la ferme est située à cheval entre la zone de danger et le périmètre de sécurité, doit choisir entre fuir et rester. Sono sion va alors suivre trois couples : un couple de vieux paysans dont la femme est malade, vraisemblablement atteinte d’Alzheimer, un jeune couple qui s’apprête à avoir un enfant et un autre couple en quête des parents de la jeune femme mais aussi d’un avenir.

    Aux scènes joyeuses du début succède un bref et effroyable vacarme puis un silence retentissant avant que la vie et l’image ne deviennent grisâtres puis avant que les couleurs « normales » ne reviennent, plus terrifiantes encore que ces couleurs grisâtres qui les ont précédées car si tout semble banal et quotidien, la menace et le danger sont là, constants, une guerre invisible. Les « autorités » (ici traitées au début comme une dictature par définition inique et intolérante) qui ne se contentent d’être que cela ne sont d’abord que des sortes de combinaisons inhumaines et sans identité. Tout est à la fois banal et singulier, paisible et agité. Comme le titre résonne (déraisonne aussi) alors comme une ironie tragique.

    Dans la beauté éclatante de chaque plan (qui n’en est alors que plus redoutablement tragique puisqu’elle n’est que le masque de cet ennemi invisible), dans son humour désenchanté (l’absurdité de cette ligne qui sépare un jardin que Tati n’aurait osé inventer et pourtant terriblement réaliste ou de ces combinaisons de protection et la paranoïa qui seraient risibles si leur existence n’était malheureusement fondée), dans sa poésie d’une beauté et d’une tristesse ravageuses, Sono Sion nous livre son cri de révolte, d’une mélancolie déchirante : révolte contre les autorités (qu’il ne cesse de dénoncer tout au long du film), révolte contre cette centrale qu’« ils » ont malgré tout construite, une telle absurdité là aussi que c’est finalement celle qui a perdu la raison qui ne cesse de la souligner.

    Sans doute Sono sion décontenancera-t-il ici ses admirateurs avec ce film plus classique que ses précédents mais, comme ses autres films, d’une beauté désenchantée, d’un romantisme désespéré (cette scène où le couple de vieux paysans danse au milieu du chaos est à la fois terriblement douce et violente, sublime et horrible, en tout cas bouleversante), d’un lyrisme et d’une poésie tragiques avec des paraboles magnifiquement dramatiques comme cet arbre -et donc la vie- qui s'embrasent mais aussi un travail sur le son d’une précision et efficacité redoutables.

    Un film porté par un cri de révolte et l’énergie du désespoir, plus efficace que n’importe quelle campagne anti-nucléaire et surtout l’œuvre d’un poète, un nouveau cri d’espoir vibrant et déchirant qui s’achève sur un seul espoir, l’amour entre deux êtres, et une lancinante litanie d’un pas, qui, comme l’Histoire, les erreurs et la détermination de l’Homme, se répètent, inlassablement. Et à nouveau, pourtant, la possibilité d’un lendemain. Malgré tout, malgré l’horreur encore là et invisible. Et Fukushima délaissée par les médias, autre fatalité qui se répète, peut-être plus terrible encore : l’oubli.

    Quelques lignes trop courtes et rapides pour parler de ce film qui m’a bouleversée et sur lequel je reviendrai. Aujourd’hui, pour moi, au programme, trois films en compétition mais, surtout, l’hommage à Wong Kar Wai et l’avant-première de « The Grandmaster ».

    Et après la beauté mélancolique du cinéma de Sono Sion, quelques images qui reflètent celle de Deauville:

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  • Ouverture du 15ème Festival du Film Asiatique de Deauville

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    Deauville, Asie, film, festival, cinéma

    Six mois après le traditionnel Festival du Cinéma Américain (retrouvez mon best of de l'édition 2012 en ccliquant ici), me voilà de retour à Deauville pour le désormais tout aussi traditionnel et incontournable Festival du Film Asiatique qui célèbre cette année sa 15ème édition (déjà!).

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    J'y reviens avec le même plaisir, voire un plaisir accru : plaisir de se plonger dans les cinématographies et cultures asiatiques, plaisir de découvrir des univers cinématographiques singuliers, plaisir d'un voyage immobile qui évade et enrichit, plaisir de retrouver Deauville, réminiscence de tant de souvenirs à commencer par les prémisses de ma passion pour le cinéma (et de ses festivals), plaisir de retrouver cet endroit et ce festival dont, plus que jamais, la mélancolie paradoxalement enchanteresse me sied, me régénère et même m'éblouit.

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    Au programme de cette année (que vous pouvez retrouver ici), les plus grands cinéastes asiatiques (Wong Kar Wai, Chen Kaige, Sono Sion, Kim ki-duk etc) mais aussi, comme chaque année, de nombreux premiers films avec pas moins de 10 nationalités représentées. Parmi ceux-ci, "Mai Ratima" de Yoo Ji-tae, film coréen en compétition présenté en ouverture hier soir.

    Comme chaque année, le maire de Deauville Philippe Augier et le Président du festival Lionel Chouchan ont ouvert le festival. Les membres du jury présidé cette année par Jérôme Clément ont ensuite été présentés.

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    Ensuite, le Coréen Yoo Ji-Tae est venu présenter son film comme vous le verrez dans la vidéo ci-dessous. Peut-être le reconnaîtrez-vous puisqu'il interprètait le rôle mémorable du tyrannique Lee Woo-jin dans "Old boy" de Park Chan-wook.

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    "Mai Ratima" est donc son premier long-métrage. Le titre désigne une jeune femme d'origine thaïlandaise venue en Corée pour un mariage arrangé où elle est devenue le souffre-douleur de sa famille d'accueil. Alors que son beau-frère la frappe en pleine rue, un jeune homme, tout aussi perdu qu'elle, Soo-young, lui vient en aide. Ils s'enfuient ensemble et se réfugient à Séoul. Ils tombent amoureux l'un de l'autre mais la réalité va rapidement les séparer.

    Surprenant et courageux choix pour un acteur dont la vie est fort probablement à 100000 mieux de celle de ses protagonistes que de traiter cette histoire dramatiquement universelle tout comme la crise économique implicitement évoquée comme la cause de cette descente aux enfers. Ce film est à l'image de ses personnages principaux: plein de défauts et néanmoins attachant. Plein de défauts parce que Yoo Ji-tae s'amuse avec des mouvements de caméra parfois inutiles ou surlignés pour mettre en exergue l'égarement, la suffocation de Mai Ratima qu'il enferme aussi souvent dans son cadre comme elle l'est dans sa réalité sans issue, sans espoir. Plein de défauts parce que le jeu des comédiens dans les premières scènes est exagéré quand il devient plus subtil quand il se concentre sur Mai Ratima et Soo-young pour lesquels le réalisateur semble vouloir nous faire partager son empathie, et il y parvient d'ailleurs la plupart du temps. Plein de défauts encore parce qu'il ne semble pas assumer la fin (pourtant réussie) pour nous livrer un générique qui offre un dénouement alternatif mais fait finalement perdre toute sa force, redoutable, à celle qui précède. Malgré cela (et finalement à cause de tout cela), Yoo Ji-Tae parvient à nous intéresser à ses deux personnages égarés qui s'accrochent l'un à l'autre, à leur dérive désespérée, à leur déchirante séparation puis descente aux enfers. Si le titre porte le nom du personnage féminin principal, ce cas particulier n'en est pas moins universel. Tragiquement. Et c'es là toute la force de ce premier film, imparfait mais dont l'universalité peut difficilement laisser indifférent.

    Les autres films de la compétition seront-ils aussi sombres et désenchantés? Réponse ce soir après ce 1er film en compétition loin d'être inintéressant.

    Au programme aujourd'hui: trois films en compétition ("Four stations", "Songlap", " "The Weight") et l'hommage à Sono sion avec, ensuite, la projection de "The Land of hope" dont je ne manquerai pas de vous parler ici ce soir ou demain.

    Pour terminer, je vous rappelle que, grâce à la mairie de Deauville, vous pouvez désormais voter et attribuer le prix du public à un film parmi ceux figurant en compétition.

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    Je vous laisse avec quelques photos de Deauville mais aussi de Trouville ( et une petite devinette, mon échappée belle à Trouville m'ayant rappelée la scène d'un film avec un célèbre acteur dont je vous parle souvent sur mes blogs -sans doute son unique mauvais film- et dans laquelle il échappe de peu à la noyade. Qui trouvera le titre du film?).

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  • L'hommage du Festival du Film Asiatique de Deauville à Wong Kar Wai en sa présence et "The Grandmaster" en avant-première

     

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    Je vous disais ces jours derniers à quel point le programme de ce Festival du Film Asiatique de Deauville 2013 me réjouissait et à quel point je trouvais ce programme exceptionnel...avant même de savoir que le festival rendrait hommage à Wong Kar Wai en sa présence et que serait projeté le tant attendu "The Grandmaster", un film en salles le 17 avril 2013 dont je vous conseille de regarder, que dis-je, de déguster la bande-annonce ci-dessus.

     Quoi de mieux que de voir le cinéaste qui a tant sublimé la mélancolie dans la ville où elle est paradoxalement si joyeuse?

    "The Grandmaster" est  "une fresque historique et martiale à travers le portrait d’un notable chinois devenu maître de kung-fu, mais aussi une réflexion sur la nostalgie du temps qui passe, avec Tony Leung, l’un des comédiens fétiches de Wong Kar Wai, et Zhang Ziyi, éclatante de talent. "

    Après avoir été le premier cinéaste chinois à présider le jury du Festival de Cannes en 2006, il est président du jury du Festival de Berlin en 2013, année où son dernier film THE GRANDMASTER sort sur les écrans, vibrant hommage aux films de kung fu de son enfance.

     

    Filmographie sélective

     

    2013 THE GRANDMASTER

     

    2007 MY BLUEBERRY NIGHTS

     

    2004 2046

     

    2000 IN THE MOOD FOR LOVE

     

    1997 HAPPY TOGETHER

     

    1995 LES ANGES DÉCHUS

     

    1994 LES CENDRES DU TEMPS

     

    1994 CHUNGKING EXPRESS

     

    1990 NOS ANNÉES SAUVAGES

     

    1988 AS TEARS GO BY

     

     

  • Création du prix du public de la ville de Deauville pour les festivals de cinéma de Deauville

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    Moi qui ai eu la chance de faire plusieurs fois partie de jurys dans les deux Festivals de Deauville (du Cinéma Américain et du Film Asiatique) et notamment deux fois de jurys de cinéphiles, je me réjouis de la création de ce prix du public de la ville de Deauville, indissociable du septième art à tant d'égards, et lieu éminemment cinématographique.

     Le premier prix du public de la ville de Deauville sera donc décerné le 10 mars pour le 15ème Festival du Film Asiatique de Deauville que je vous ferai suivre en direct ici comme chaque année (ainsi que sur Inthemoodforfilmfestivals.com ) et pour lequel je vous fais par ailleurs gagner des pass, ici, également comme chaque année.

     Retrouvez, ci-dessous, le communiqué de presse au sujet de ce prix du public de la ville de Deauville:

    Les palmarès du Festival du Film Asiatique et du Festival du Cinéma Américain s’enrichissent en 2013 d’un nouveau prix, à l’initiative de la Ville de Deauville : LE PRIX DU PUBLIC DE LA VILLE DE DEAUVILLE, attribué à l’un des films de la compétition ayant obtenu la majorité des votes des spectateurs en salle. Coup d’envoi de ce nouveau prix le 6 mars dans les salles des festivals de Deauville.

    Depuis leur création, les Festivals de cinéma de Deauville sont ouverts au public et renouvellent chaque année leur offre par la mise en place de tarifs attractifs et l’accessibilité à une programmation foisonnante. Les festivals de cinéma de Deauville privilégient la rencontre avec les réalisateurs et les acteurs par des master-classes ; explorent la création cinématographique, du cinéma d’auteur aux films grand public ; rendent des hommages aux personnalités majeures du cinéma, producteurs, réalisateurs, acteurs, scénaristes… ; projettent des documentaires ou des séries télé. Près de 160 films sont présentés à Deauville chaque année. En 2012, 77000 festivaliers ont poussé les portes de ses salles de cinéma. Ils sont désormais appelés à donner leur avis et une chance supplémentaire à un film d’être diffusé et recommandé.

    Ville de tournages - cinquante long-métrages s’y sont déroulés depuis 1919 – Deauville s’implique depuis 36 ans pour permettre à tous de découvrir en avant-première la production cinématographique étrangère. Lieu de reconnaissance des jeunes réalisateurs en devenir, elle poursuit en dehors des grands rendez-vous festivaliers, sa relation au cinéma tout au long de l’année par des cycles et rétrospectives et accueille depuis deux ans un jeune cinéaste américain – Asa Mader - en résidence d’écriture pour un projet de film dont le tournage débutera à Deauville en septembre prochain.

     MODE D’EMPLOI

    A chaque séance d’un film en compétition, un bulletin de vote accessible à tous est remis aux spectateurs en début de séance. Les appréciations sont graduées de 1 à 5. Les bulletins sont dépouillés à l’issue du Festival. Le film en compétition qui a rassemblé le plus grand nombre d’appréciations positives, aupro-rata des entrées de sa séance sera le lauréat.

    Le Prix du Public de la Ville de Deauville sera remis au réalisateur, lors de la soirée de proclamation du palmarès.

  • Concours - Gagnez vos pass pour le Festival du Film Asiatique de Deauville 2013

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    Pour la 4ème année consécutive,  en partenariat avec le CID de Deauville, j'ai le plaisir de vous faire gagner vos pass pour le Festival du Film Asiatique de Deauville dont ce sera cette année le 15ème anniversaire, de même que je le fais pour le Festival du Cinéma Américain, chaque année, deux festivals auxquels je suis fidèle depuis de très nombreuses années et quasiment depuis sa première édition pour le Festival du Film Asiatique de Deauville qui, d'années en années, ne cesse de grandir et s'améliorer. Il a ainsi désormais son public d'habitués tout comme son grand frère américain du mois de septembre. J'ai également eu deux fois le plaisir de faire partie de jurys différents au sein de ce Festival du Film Asiatique. Je crois donc pouvoir dire que je le connais particulièrement bien et vous le recommande donc en connaissance de cause. En plus d'une sélection toujours très diversifiée et alléchante, le mois de mars auquel se déroule le festival procure à Deauville une lumière particulière, cette douce mélancolie qui lui est propre et qui est encore plus singulière à cette période de l'année entre fin de l'hiver et prémisses du printemps. N'y voyez là aucune référence à un très beau film de Kim Ki Duk.

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    Nous savons pour l'instant seulement que le festival aura lieu du 6 au 10 mars 2013 et que   la Chine sera le pays à l'honneur, avec une journée économique organisée le vendredi 8 mars.

    Pour suivre le Festival du Film Asiatique de Deauville et recevoir toutes les informations:

    -Mes blogs http://www.inthemoodfordeauville.com et http://inthemoodforfilmfestivals.com

    -Mon compte twitter consacré à Deauville (@moodfdeauville - http://twitter.com/moodfdeauville  ), mon compte twitter consacré aux festivals de cinéma (@moodforfilmfest ) et mon compte twitter principal (@moodforcinema )

    -Ma page Facebook consacré aux festivals de Deauville: http://facebook.com/inthemoodfordeauville

    -Le compte twitter officiel du Festival du Film Asiatique de Deauville: @DeauvilleAsia

    -La page Facebook du Festival du Film Asiatique de Deauville (sur laquelle vous pourrez aussi gagner des pass pour le festival) : https://www.facebook.com/home.php#!/pages/Festival-du-Film-Asiatique-de-Deauville-page-officielle/146362825375167?fref=ts

    -Le site officiel du Festival du Film Asiatique de Deauville : http://www.deauvilleasia.com/

    -Retrouvez mon compte-rendu complet de l'édition 2012 du Festival du Film Asiatique de Deauville, en cliquant ici.

    CONCOURS:

    Je mets aujourd'hui 12 pass en jeu  pour ce Festival du Film Asiatique de Deauville 2013, soit 4 pass pour le vendredi 8 mars, 4 pass pour le samedi 9 mars et 4 pass pour le dimanche 10 mars. Les pass sont ainsi répartis:

    1er et 2ème lot : 1 pass pour le vendredi, 1 pass pour le samedi, 1 pass pour le dimanche

    3ème lot: 1 pass pour le vendredi et 1 pass pour le samedi

    4ème lot: 1 pass pour le samedi et 1 pass pour le dimanche

    5ème lot: 1 pass pour le vendredi

    6ème lot: 1 pass pour le dimanche

    Les lots seront attribués en priorité à ceux qui auront trouvé toutes les bonnes réponses aux 11 questions suivantes. En cas d'égalités, les lots seront attribués aux plus rapides dans l'ordre ci-dessus. Dans le cas où le nombre de lauréats ayant trouvé toutes les bonnes réponses serait inférieur au nombre de lots, les gagnants seront choisis parmi ceux ayant un maximum de bonnes réponses. Les réponses sont à envoyer avant le 1er mars, à minuit, à inthemoodforcinema@gmail.com avec, pour intitulé de votre email, "Concours Festival du Film Asiatique de Deauville 2013".  N'oubliez pas de joindre vos coordonnées. Seuls les gagnants seront contactés. Les lots vous seront attribués directement sur place. L'hébergement et le transport ne sont pas pris en charge.

    1. Quel est le nom du film dont est extraite l'image ci-dessous?

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    3. De quel film est extraite cette image?

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    4. De quel film est extraite cette image?

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    5. Quel est le nom de cette personnalité du cinéma asiatique?

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    6. De quel film est extraite l'image ci-dessous?

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    7. Chow/Chan: à quoi cela vous fait-il penser?

    8. Quel est ce lieu? De quel film est extraite cette image?

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    9. Quel est le nom du film dont est extraite l'image ci-dessous?

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    10. Afin de récompenser les fidèles lecteurs de mes blogs (les autres pourront aisément trouver la réponse sur mes blogs), en quelles années ai-je été membre de jurys du Festival du Film Asiatique de Deauville?

    11. En une phrase, pourquoi souhaitez-vous assister à ce festival en particulier?

     

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  • Programme détaillé et complet du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2012 (jurys, hommages, avant-premières, compétition, séries, docs, récompenses et informations pratiques et liens)

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    dididi.jpgS’il y a bien un rendez-vous incontournable pour moi chaque année, c’est celui-ci : ce Festival du Cinéma Américain de Deauville qui a exacerbé ma passion pour le cinéma, l’a transformée en doux mal incurable, il y a tant d’années déjà (je préfère ne plus les compter). Je l’ai expérimenté (et savouré) d’une multitude de manières, adolescente comme simple public d’abord (peu importaient les files d’attente –jusqu’à 5h !- ce fut l’occasion de créer des amitiés cinéphiles) mais aussi, comme jurée cinéphile (il y a 12 ans déjà !), accréditée public, vip, presse (peu importe d’ailleurs, quel que soit le statut, le festival est très accessible et permet une vraie immersion cinématographique)…mais toujours et depuis la première fois en restant tout le festival pour en avoir une vue aussi exhaustive que possible.

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    Chaque fois, ce furent de belles découvertes cinématographiques (quelle bonne idée que d’avoir institué la compétition de films indépendants en 1995, l’occasion de découvrir tant de pépites que je vous fais chaque année partager ici), de passer des films indépendants aux derniers blockbusters, de voir des monstres sacrés du cinéma américain (dont certains sont les responsables non coupables des prémisses de ma passion pour le cinéma comme Kirk Douglas ou Lauren Bacall), d’apprendre et de s’enrichir avec les master class, et puis de rêvasser en arpentant les planches dont la mélancolie joyeuse et envoûtante ne me lasse jamais. Et s’il est de bon ton d’être blasée, je revendique d’y aller chaque année, avec la même curiosité et le même enthousiasme, cette année plus que jamais.

     

    Il y a eu des éditions plus ou moins calmes. Quoiqu’il en soit, le Festival est toujours et plus que jamais la vitrine du cinéma indépendant américain, même si certains furent déçus de découvrir moins d’avant-premières et d’hommages prestigieux, ces 4 dernières années. Annonçons-le d’emblée : cette programmation 2012 devrait ravir tout le monde, les cinéphiles comme les simples amateurs de cinéma de pur divertissement, ceux qui veulent voir des stars et ceux qui veulent découvrir les dernières pépites du cinéma indépendant américain. Ce programme est le meilleur depuis plusieurs années et allie et concilie judicieusement films indépendants alléchants, avant-premières de grosses productions très attendues, hommages variés et prestigieux, sans oublier un jury éclectique, glamour et cinéphile.

     Vous retrouverez ci-dessous le programme, particulièrement riche et diversifié, dans ses grandes lignes, ainsi que de nombreuses informations pratiques. Je vous  détaillerai le programme régulièrement sur mon blog consacré au festival http://www.inthemoodfordeauville.com , comme chaque année. Vous pouvez également, en attendant, retrouver mon bilan complet du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2011, en cliquant ici, vous y retrouverez notamment ce petit moment de magie qui caractérise les festivals, totalement imprévisible, grâce à Tony Kaye et sa guitare...

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    LES MEMBRES DES 2 JURYS

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    Nous savions déjà que le jury longs-métrages serait présidé par la comédienne et désormais réalisatrice SANDRINE BONNAIRE (Et quelle réalisatrice ! Je ne saurai trop vous recommander son documentaire « Elle s’appelle Sabine » mais aussi son premier long-métrage de fiction « J’enrage de son absence », un film bouleversant entre drame familial et thriller qui met des images sur la douleur indicible de l'absence filmée avec une rage à la fois douce et âpre, un film dont vous pouvez retrouver ma critique ici) et que le jury Révélation Cartier serait présidé par FREDERIC BEIGBEDER (journaliste, écrivain, réalisateur, publicitaire...et cinéphile, chaque année par ailleurs membre du jury du prix littéraire du festival).

     Aux côtés de Sandrine Bonnaire, dans le jury longs-métrages, nous retrouverons :

    SAMI BOUAJILA – Comédien

    CLOTILDE COURAU - Comédienne

     PHILIPPE DECOUFLÉ - Danseur, chorégraphe, metteur en scène, directeur artistique et réalisateur

     ANAÏS DEMOUSTIER – Comédienne

     CHRISTOPHE HONORÉ - Réalisateur, scénariste, metteur en scène et écrivain

     JOANN SFAR - Réalisateur et dessinateur de bandes dessinées (Cliquez ici pour lire ma critique de « Gainsbourg, vie héroïque », un film que je vous recommande vivement)

    FLORENT EMILIO SIRI - Réalisateur et scénariste  (Cliquez ici pour lire ma critique de « Cloclo » réalisé par ce dernier)

     ALICE TAGLIONI – Comédienne

    Concernant le jury Révélation Cartier, Frédéric Beigbeder sera entouré de :

    Astrid BERGÈS-FRISBEY –Comédienne

     Mélanie BERNIER – Comédienne

    Ana GIRARDOT – Comédienne

     HOMMAGES ET RECOMPENSES

     C’est ce qui, au départ, a contribué à la renommée du Festival du Cinéma Américain de Deauville, ces hommages à des grands du 7ème art américain dont les noms sont désormais immortalisés sur les planches. Certains furent plus mémorables que d’autres mais ce sont toujours des moments émouvants, l’occasion aussi de retracer des carrières plus ou moins longues, et désormais aussi de mettre en lumière de jeunes talents avec « le  Nouvel Hollywood » institué l’an passé. Après Ryan Gosling et Jessica Chastain, l’an dernier, la récompense 2012 sera attribuée à l’acteur PAUL DANO, en sa présence. Il sera aussi à Deauville pour le film « Elle s’appelle Ruby » dont je vous parle plus bas.

    Le festival pouvait difficilement faire mieux et plus diversifié en matière d'hommages cette année puisqu'il rendra également hommage au comédien LIAM NEESON (en sa présence, à cette occasion retrouvez ici bientôt ma critique de "La Liste de Schindler") renouant avec les hommages de stars américaines sans compter qu’une autre star du cinéma américain, le comédien HARVEY KEITEL sera également à l’honneur (en sa présence) ainsi que la comédienne SALMA HAYEK, les cinéastes WILLIAM FRIEDKIN et MELVIN VAN PEEBLES, le compositeur JOHN WILLIAMS (toujours en sa présence). Parmi ses dernières compositions « Cheval de guerre  » de Spielberg dont vous pouvez retrouver ma critique, ici.

     Le PRIX MICHEL D’ORNANO sera cette année attribué à « RENGAINE », un film écrit et réalisé par Rachid Djaïdani.

    Le PRIX LITTERAIRE LUCIEN BARRIÈRE sera cette année décerné à « PERCIVAL EVERETT » pour son roman « Pas Sidney Poitier ».

    COMPETITION

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     Chaque année, je m’efforce de ne manquer aucun des films de la compétition. Nombreux sont les cinéastes aujourd’hui reconnus à avoir été révélés suite à leur sélection dans cette section, magnifique « vitrine » du cinéma indépendant américain. Cette année, au programme de cette compétition (particulièrement riche et attractive), 14 longs-métrages dont « Les Bêtes du Sud sauvage » qui avait fait sensation à Cannes (où je l’avais malheureusement manqué, l’occasion idéale de pouvoir le rattraper) où il avait obtenu la Caméra d’or. Vous y découvrirez aussi « The we and the I » de Michel Gondry. Une belle sélection sur laquelle je reviendrai ultérieurement plus en détails.

    BEASTS OF THE SOUTHERN WILD de Benh Zeitlin

     BOOSTER de Matt Ruskin

     CALIFORNIA SOLO de Marshall Lewy

     COMPLIANCE de Craig Zobel

     ELECTRICK CHILDREN de Rebecca Thomas

     FOR ELLEN de So Yong Kim

     FRANCINE de Brian M. Cassidy & Melanie Shatzky

     GIMME THE LOOT d’Adam Leon

     GOD BLESS AMERICA de Bobcat Goldthwait

     ROBOT and FRANK de Jake Schreier

     SMASHED de James Ponsoldt |

    UNA NOCHE de Lucy Mulloy

     THE WE AND THE I de Michel Gondry

     YOUR SISTER’S SISTER de Lynn Shelton

     PREMIERES

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     Nous savions déjà que le dernier volet des Jason Bourne serait projeté à Deauville (comme les précédents), voilà qui promet une belle effervescence. Nous aurons aussi le plaisir de retrouver Jonathan Dayton et Valerie Faris qui avaient enthousiasmé les festivaliers et le jury avec « Little Miss sunshine », d’ailleurs récompensé à Deauville. Deux films présentés à Cannes, en compétition, figurent également au programme : « Lawless » de John Hillcoat (un western de facture classique mais très maitrisé, je vous le recommande) et « Mud » de Jeff Nichols, en FILM D’OUVERTURE (je suis plus réservée sur celui-ci mais je retournerai le voir avec plaisir, Jeff Nichols avait reçu le grand prix à Deauville en 2011 pour « Take Shelter »).

    Nous aurons également le plaisir de découvrir « Savages » d’Oliver Stone en CLÔTURE avec un très beau générique parmi lequel Salma Hayek à qui le festival rendra également hommage mais aussi : Aaron Johnson, Taylor Kitsch, Blake Lively, John Travolta, Benicio del Toro, Emile Hirsch, Demian Bichir.

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    BACHELORETTE de Leslye Headland 

     THE BOURNE LEGACY (JASON BOURNE : L’HÉRITAGE) De Tony Gilroy

     DEADFALL (BLACKBIRD) de Stefan Ruzowitzky

     KILLER JOE de William Friedkin

     LAWLESS (DES HOMMES SANS LOI) de John Hillcoat

     FILM D’OUVERTURE : MUD de Jeff Nichols

     RUBY SPARKS (ELLE S’APPELLE RUBY) de Jonathan Dayton & Valerie Faris

     SAVAGES d’Oliver Stone

     THE TALL MAN (THE SECRET) de Pascal Laugier

     SECRET OF THE WINGS (CLOCHETTE ET LE SECRET DES FÉES) de Peggy Holmes - Séance Enfants - Film diffusé dans sa version française

     TAKEN 2 d’Olivier Megaton

     TAKE THIS WALTZ de Sarah Polley

    TED de Seth MacFarlane

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    LES DOCS DE L’ONCLE SAM

     Cette section réserve aussi très souvent de belles surprises… Laissez-vous surprendre et aiguisez votre curiosité par ce qui est bien souvent une plongée dans une autre Amérique, et pas seulement:

    DIANA VREELAND: THE EYE HAS TO TRAVEL de Lisa Immordino Vreeland

     ETHEL de Rory Kennedy

     FAR OUT ISN'T FAR ENOUGH: THE TOMI UNGERER STORY de Brad Bernstein

     GAZZARA de Joseph Rezwin

     METHOD TO THE MADNESS OF JERRY LEWIS de Gregg Barson

     ROOM 237 de Rodney Ascher

     SEARCHING FOR SUGAR MAN de Malik Bendjelloul

    THE IMPOSTER de Bart Layton

     THE QUEEN OF VERSAILLES de Lauren Greenfield

     WEST OF MEMPHIS d’Amy Berg

     

    MASTERCLASS et Leçons de cinéma

    Le festival proposera aussi une série de Masterclass :

    - « De l’influence de Jean-Pierre Melville sur le cinéma américain » qui aura lieu le jeudi 6 septembre 2012, salle Lexington, au CID. Une masterclass que je ne manquerai pas, inconditionnelle du cinéma de Melville. Retrouvez ma critique de son chef d’œuvre (l’un de ses chefs d’œuvre), « Le Samouraï », ici : http://inthemoodlemag.com/2012/07/26/masterclass-de-l%e2%80%99influence-de-jean-pierre-melville-sur-le-cinema-americain-festival-de-deauville-2012-critique-le-samourai/

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    -Leçon de cinéma de William Friedkin, le 2 septembre, salle Lexington : Dans le cadre de l’hommage au réalisateur William Friedkin, le Festival propose à tous ceux qui le souhaitent d’assister à une leçon de cinéma animée par Jean-François Rauger, directeur de la programmation de la Cinémathèque française.

    -Masterclass « Take shelter », le 7 septembre 2012, en salle Lexington une masterclass autour de l’analyse filmique de TAKE SHELTER de Jeff Nichols, Grand Prix du Festival l’année dernière, lors d’une conférence animée par David McKenna, et initiée en collaboration avec l’ESRA.
    La masterclass portera sur l’utilisation des fondamentaux de la structure narrative par le réalisateur pour traduire les thématiques et les émotions intimes des personnages en de convaincantes actions dramatiques.

     DEAUVILLE SAISON 3

     Les séries reviennent également avec, au programme :

     HOMELAND SAISON 1 (EPISODES PILOT) ET GRACE | GIRLS SAISON 1 (EPISODES PILOT) ET VAGINA PANIC

     NUITS AMERICAINES

     Le meilleur du cinéma américain et de ses classiques continuera à être programmé 24H sur 24H. Une excellente idée que de poursuivre cette belle initiative pour les cinéphiles insomniaques. Le programme sera dévoilé ultérieurement. Je vous en informerai bien entendu.

     CARTE BLANCHE A AGNES b.

     Après Jean-Charles de Castelbajac, cette année le Festival donnera carte blanche à Agnès b. qui nous proposera de redécouvrir :

    SEVEN CHANCES (Fiancées en folie) de Buster Keaton (1925) |

    FREAKS de Tod Browning (1932) |

    REFLECTIONS IN A GOLDEN EYE (Reflets dans un oeil d’or) de John Huston (1967)

     THE BIG SHAVE de Martin Scorsese (1968)

     RESERVOIR DOGS de Quentin Tarantino (1992)
    LOST HIGHWAY de David Lynch (1997)

     TRASH HUMPERS d’Harmony Korine (2010)

     SÉANCE CULTE

     Une « séance culte » s’ajoute cette année au programme : MONDWEST (WESTWORLD) de Michael Crichton.

     INFORMATIONS PRATIQUES

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    Vous pouvez d’ores et déjà réserver vos pass sur http://badgecid.com  mais aussi en gagner sur mes blogs (http://inthemoodforfilmfestivals.com/concours-gagnez-vos-pass-pour-le-festival-du-cinema-americain-de-deauville-2012/  ) ou sur la page Facebook officielle du Festival.

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    Pour le logement et les restaurants, je vous donne également de nombreux conseils ici: http://www.inthemoodfordeauville.com/archive/2011/08/21/hotels-et-restaurants-a-deauville-ou-loger-et-ses-restaurer.html .

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    Sur http://www.inthemoodfordeauville.com, vous trouverez également tout ce que vous voulez savoir sur Deauville ainsi que sur le site de l’office de tourisme et de la mairie.

    POUR EN SAVOIR PLUS- LIENS:

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    Site officiel du Festival : http://www.festival-deauville.com

    Page Facebook officielle du Festival : https://www.facebook.com/Festival.Cinema.Americain.Deauville

    Site officiel du CID :  http://www.congres-deauville.com/

    Suivez les comptes officiels du festival sur twitter : @lpscinema et CID_Deauville

    Pour de nombreuses informations exclusives et pratiques et pour me suivre en direct du festival, ou participer à mes concours et gagner des pass, pour retrouver mes articles etc , vous pouvez aussi me suivre sur twitter , sur mon compte twitter consacré au festival ( @moodfdeauville ), sur mon compte principal (@moodforcinema ) et sur celui de mon nouveau blog consacré aux festivals de cinéma sur lequel Deauville est à l’honneur : http://inthemoodforfilmfestivals.com ( @moodforfilmfest) .

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    J’ai également écrit un recueil de nouvelles romantiques et cruelles sur les festivals de cinéma sélectionné et ouvert à l’édition participative et dans lequel figurent plusieurs nouvelles sur Deauville. Pour en savoir plus, c’est ici: http://inthemoodlemag.com/2012/06/19/mon-recueil-de-nouvelles-sur-le-cinema-ouvert-a-ledition-participative/. Pour soutenir le projet, c’est là: http://www.bookly.fr/content/projet/ombres-parall%C3%A8les#.T-BLBdNTURg.twitter . Et vous pouvez aussi le suivre sur Facebook (http://Facebook.com/ombresparalleles) et sur twitter (@parallelshadows) .

    Enfin, j’ai créé une page Facebook consacrée au Festival de Deauville : http://facebook.com/inthemoodfordeauville sur laquelle vous pourrez débattre du festival.

    Je vous donne rendez-vous quotidiennement sur http://www.inthemoodfordeauville.com pour de nombreuses informations sur le festival en attendant que vous puissiez m’y suivre en direct du 31 août au 9 septembre 2012 . Je vous rappelle enfin que, en fin de semaine, je vous ferai à nouveau gagner des lots de 3 ou 4 pass pour cette édition 2012 du Festival du Cinéma Américain de Deauville.

    Bon festival à tous en espérant qu'il sera cette année à l'image de son affiche (une invitation au voyage, au partage, à l'évasion) et n’hésitez pas à donner votre avis sur cette programmation !

    Découvrez les 6 blogs "in the mood": http://inthemoodlemag.com , http://inthemoodforfilmfestivals.com, http://www.inthemoodfordeauville.com , http://www.inthemoodforcinema.com , http://www.inthemoodforcannes.com , http://www.inthemoodforluxe.com .

    Voilà qui devrait faire palpiter le coeur des festivaliers un peu plus vite...: