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HOMMAGES - Page 5

  • Festival du Cinéma Américain de Deauville 2013 : Valérie Donzelli présidente du jury de la Révélation Cartier et hommage à Gale Anne Hurd

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    Ci-dessus, Valérie Donzelli

    Les annonces concernant le 39ème Festival du Cinéma Américain de Deauville continuent à tomber. Après l'affiche dans laquelle on retrouve les couleurs de la bannière étoilée, les étoiles, les planches, le(s) parasol(s), référence à la paradoxale joyeuse mélancolie deauvillaise, référence aussi au cinéma d’hier que met également à l’honneur le festival, et évidemment à un classique du cinéma américain « Singing in the rain » de Stanley Donen et Gene Kelly, après l'annonce de "Ma vie avec Liberace" en film d'ouverture en présence de Matt Damon et Michael Douglas, après l'annonce de la Master Class de Steven Soderbergh, c'est le nom de la présidente du jury Révélation Cartier et un premier hommage qui viennent d'être annoncés.

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    JURY

    C'est l'actrice réalisatrice Valérie Donzelli qui présidera le jury Révélation Cartier du 39ème Festival du Cinéma Américain de Deauville.  Le Jury Révélation Cartier récompense, lors de la cérémonie du Palmarès, un film de la Compétition pour ses qualités novatrices, en lui remettant LE PRIX DE LA RÉVÉLATION CARTIER. En créant le trophée du Prix de la Révélation, Cartier « griffe » Deauville et scelle ainsi, à l’occasion du Festival du Cinéma Américain de Deauville, son engouement pour le 7e art et sa passion pour l’Amérique du cinéma. LES BÊTES DU SUD SAUVAGE de Benh Zeitlin (ma critique, ici) avait remporté ce prix l’année dernière.

    HOMMAGE

    Toujours soucieux d’enrichir le dialogue entre les professionnels et fort du succès des deux précédentes éditions, le Festival du Cinéma Américain de Deauville s’associe de nouveau avec la Producers Guild of America (PGA) et l’Association des Producteurs de Cinéma (APC) en collaboration avec la Commission du Film d’Île de France pour un troisième rendez-vous professionnel franco-américain le lundi 2 septembre 2013. L’hommage à la productrice américaine Gale Anne Hurd sera le couronnement de cette journée d’échanges et de rencontres au Festival du Cinéma Américain de Deauville 2013, comme le fut l’année passée l’hommage rendu à la productrice Paula Wagner.

    Je vous rappelle que le hashtag officiel du festival est #Deauville2013, le site officiel http://festival-deauville.com, la page Facebook officielle https://www.facebook.com/Festival.Cinema.Americain.Deauvi… et le compte twitter officiel @DeauvilleUS et @lpscinema

    Pour me suivre en direct du festival, comme chaque année, ce sera sur mes différents sites et blogs, et sur twitter (compte principal  @moodforcinema et compte dédié au Festival  @moodfdeauville ) ainsi que sur ma page Facebook consacrée à ce festival http://facebook.com/inthemoodfordeauville .

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    Je partage aussi ma passion pour ce festival dans un roman publié chez Numeriklivres « Les Orgueilleux » (disponible partout: Numeriklivres, Fnac.com, chapitre.com etc) et pour la sortie duquel je vous fais gagner une liseuse électronique, ici. Par ailleurs, un peu avant le festival, en août prochain, chez ce même éditeur sortira mon recueil de nouvelles romantiques et cruelles sur les festivals de cinéma intitulé « Ombres parallèles » dont plusieurs se déroulent dans le cadre de ce festival.

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  • Critique de "The land of hope" de Sono Sion et hommage à Sono Sion (Festival du Film Asiatique de Deauville 2013)

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    Je vous parlerai ultérieurement des films vus en compétition hier et desquels se dégage une thématique commune et un désespoir commun…dont ne s’éloigne d’ailleurs pas vraiment le film dont je vais vous parler aujourd’hui (qui n’est pas en compétition) même s’il surpasse, et de loin, les autres films vus, et pour cause puisque c’est l’œuvre d’un cinéaste confirmé à qui le festival rendait hier hommage : Sono Sion (cf ma vidéo de l'hommage à suivre, en ligne dans la journée). A son hommage a succédé la projection de « The land of hope », un film de ce dernier datant de 2012 et qui sortira en France en avril prochain.

    L’an passé, en compétition, le festival avait projeté « Himizu » du même Sono Sion, film que je qualifiais alors d’une rageuse, fascinante, exaspérante et terrifiante beauté. Les premiers plans, effroyables, nous plongeaient dans le décor apocalyptique de l’après tsunami exploré par de longs travellings, mais le chaos n’était alors pas seulement visuel, c’était surtout celui qui rongeait, détruisait, étouffait les êtres ayant perdu leur identité et tout espoir.

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    Ce nouveau long-métrage de Sono Sion commence de manière plutôt inattendu : d’abord par son classicisme (relatif, mais du moins pour Sono Sion, moins dans la folie et l’explosion visuelles, ici) et ensuite parce qu’il met en scène un cadre bucolique, des couleurs chatoyantes et des personnages heureux. Evidemment, cela ne va pas durer et la réalité, tragique, terrible, celle du Japon que Sono Sion, films après films, dissèque et dénonce, va ressurgir avec un tremblement de terre qui frappe alors le Japon. Il entraîne l’explosion d’une centrale nucléaire. Sans vraiment en donner la raison, le gouvernement fait évacuer les habitants à proximité de la catastrophe. La famille Ono dont la ferme est située à cheval entre la zone de danger et le périmètre de sécurité, doit choisir entre fuir et rester. Sono sion va alors suivre trois couples : un couple de vieux paysans dont la femme est malade, vraisemblablement atteinte d’Alzheimer, un jeune couple qui s’apprête à avoir un enfant et un autre couple en quête des parents de la jeune femme mais aussi d’un avenir.

    Aux scènes joyeuses du début succède un bref et effroyable vacarme puis un silence retentissant avant que la vie et l’image ne deviennent grisâtres puis avant que les couleurs « normales » ne reviennent, plus terrifiantes encore que ces couleurs grisâtres qui les ont précédées car si tout semble banal et quotidien, la menace et le danger sont là, constants, une guerre invisible. Les « autorités » (ici traitées au début comme une dictature par définition inique et intolérante) qui ne se contentent d’être que cela ne sont d’abord que des sortes de combinaisons inhumaines et sans identité. Tout est à la fois banal et singulier, paisible et agité. Comme le titre résonne (déraisonne aussi) alors comme une ironie tragique.

    Dans la beauté éclatante de chaque plan (qui n’en est alors que plus redoutablement tragique puisqu’elle n’est que le masque de cet ennemi invisible), dans son humour désenchanté (l’absurdité de cette ligne qui sépare un jardin que Tati n’aurait osé inventer et pourtant terriblement réaliste ou de ces combinaisons de protection et la paranoïa qui seraient risibles si leur existence n’était malheureusement fondée), dans sa poésie d’une beauté et d’une tristesse ravageuses, Sono Sion nous livre son cri de révolte, d’une mélancolie déchirante : révolte contre les autorités (qu’il ne cesse de dénoncer tout au long du film), révolte contre cette centrale qu’« ils » ont malgré tout construite, une telle absurdité là aussi que c’est finalement celle qui a perdu la raison qui ne cesse de la souligner.

    Sans doute Sono sion décontenancera-t-il ici ses admirateurs avec ce film plus classique que ses précédents mais, comme ses autres films, d’une beauté désenchantée, d’un romantisme désespéré (cette scène où le couple de vieux paysans danse au milieu du chaos est à la fois terriblement douce et violente, sublime et horrible, en tout cas bouleversante), d’un lyrisme et d’une poésie tragiques avec des paraboles magnifiquement dramatiques comme cet arbre -et donc la vie- qui s'embrasent mais aussi un travail sur le son d’une précision et efficacité redoutables.

    Un film porté par un cri de révolte et l’énergie du désespoir, plus efficace que n’importe quelle campagne anti-nucléaire et surtout l’œuvre d’un poète, un nouveau cri d’espoir vibrant et déchirant qui s’achève sur un seul espoir, l’amour entre deux êtres, et une lancinante litanie d’un pas, qui, comme l’Histoire, les erreurs et la détermination de l’Homme, se répètent, inlassablement. Et à nouveau, pourtant, la possibilité d’un lendemain. Malgré tout, malgré l’horreur encore là et invisible. Et Fukushima délaissée par les médias, autre fatalité qui se répète, peut-être plus terrible encore : l’oubli.

    Quelques lignes trop courtes et rapides pour parler de ce film qui m’a bouleversée et sur lequel je reviendrai. Aujourd’hui, pour moi, au programme, trois films en compétition mais, surtout, l’hommage à Wong Kar Wai et l’avant-première de « The Grandmaster ».

    Et après la beauté mélancolique du cinéma de Sono Sion, quelques images qui reflètent celle de Deauville:

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  • Vidéo- L'hommage du Festival de Deauville 2012 à Liam Neeson

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    En attendant ma critique de "Taken 2" et mon compte-rendu du festival, je vous propose ma vidéo de l'évènement de ce soir: l'hommage à Liam Neeson. Vous pouvez aussi retrouver ma critique de "La Liste de Schindler", ici (au passage, et à juste titre, le film le plus applaudi lors de la rétrospective en images de sa carrière).

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    Je peux néanmoins d'ores et déjà vous dire qu'il s'agit d'une édition réussie et que mes deux coups de coeur sont "Elle s'appelle Ruby" et "Les bêtes du sud sauvage" (il est impossible que ce dernier ne figure pas au palmarès).

    Découvrez les 6 blogs inthemood : http://inthemoodlemag.com, http://inthemoodforfilmfestivals.com , http://www.inthemoodforcinema.com , http://www.inthemoodforcannes.com , http://www.inthemoodfordeauville.com , http://www.inthemoodforluxe.com .

    Suivez-moi aussi en direct de Deauville sur twitter (@moodfdeauville ) et Facebook (http://facebook.com/inthemoodfordeauville ).

     

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  • L'hommage du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2012 à Melvin van Peebles

    Depuis 1995 et sa compétition de films indépendants américains, Deauville n'est plus seulement la vitrine des grosses productions américaines mais surtout et avant tout le symbole du cinéma indépendant américain. Nombreux sont les films et cinéastes que j'ai (re)découverts dans le cadre du festival.  C'est dans cette optique que le festival rendra cette année hommage ) Melvin van Peebles. Je vous invite à découvrir le communiqué de presse du festival à ce sujet, ci-dessous.

    Le Festival du Cinéma Américain de Deauville continue son travail de redécouverte du patrimoine du cinéma américain en accueillant ce grand cinéaste. Melvin Van Peebles a pratiquement toujours travaillé en dehors du circuit traditionnel des studios américains. Et malgré cela, il est reconnu aujourd’hui comme l’un des cinéastes les plus importants de l’histoire du cinéma américain, ayant influencé et ouvert la voie pour toute une génération.

    Né à Chicago en 1932, Melvin Van Peebles s’engage, après de brillantes études, dans l’armée de l’Air. Après un passage par le Mexique et des activités de peintre, il réside à San Francisco où il réalise quelques courts-métrages et publie un livre de photos, inspiré par son emploi de conducteur de tramway.

    Voulant proposer ses talents à Hollywood, il frappe à la porte des studios, qui reste close…

    Nous sommes dans l’Amérique des années 60…

    L’industrie cinématographique se résume encore à des films pour les blancs, faits par des blancs, à de rares exceptions près (Sydney Poitier, Oscar du Meilleur Acteur en 1964, premier acteur noir à remporter ce prix). 5

    Melvin Van Peebles part en Europe, et finit par s’installer à Paris, où La Cinémathèque Française l’invite à présenter ses courts-métrages.

    Il collabore à la célèbre revue Hara Kiri, pour laquelle il rédige des articles et des interviews et y rencontre notamment Wolinski, avec lequel il adaptera, pour l’anecdote, l’oeuvre « La Reine des Pommes », du célèbre auteur de série noire Chester Himes.

    En France, il écrit cinq romans, dont « La Permission », qui lui permet de bénéficier d’une aide au financement de son premier long métrage : THE STORY OF A THREE-DAY PASS (1968), la subversive histoire d’amour d’un soldat Afro-Américain et d’une Française.

    Le succès critique du film conduit alors Van Peebles à retourner aux Etats-Unis où la Columbia Pictures lui offre sa seule réalisation hollywoodienne : WATERMELON MAN (1969), une comédie mettant en scène Godfrey Cambridge dans le rôle d’un bigot blanc qui se réveille un matin dans la peau d’un noir.

    Mais c’est surtout SWEET SWEETBACK’S BAADASSSSS SONG (1971)- un running movie prenant pour héros un petit gigolo qui tente d’échapper à la police en traversant des ghettos en proie à l’émeute raciale- qui marquera la carrière de Melvin Van Peebles et l’histoire du cinéma Américain.

    Ecrit, produit, réalisé, incarné et monté par Melvin Van Peebles lui-même, qui en a également composé la musique (avec le groupe Earth Wind and Fire, inconnu à l’époque), SWEET SWEETBACK’S BAADASSSSS SONG est considéré comme Le film à l’origine de la black exploitation, genre qui explosa dans les années 70 en rencontrant un succès phénoménal.

    Avec Charles Burnett (KILLER OF SHEEP, 1973) et dans un autre registre Gordon Park (LES NUITS ROUGES DE HARLEM, 1971 - LES NOUVEAUX EXPLOITS DE SHAFT, 1972) puis Michael Schultz (CAR WASH, 1976), Melvin Van Peebles allait définitivement donner une place au black power à Hollywood et ouvrir la voie à de nombreux réalisateurs, producteurs et comédiens (Spike Lee, Eddie Murphy, Morgan Freeman, Denzel Washington, Halle Berry, Samuel L. Jackson, Whoopi Goldberg, Forest Whitaker, Will Smith, etc…) qui feront la fortune de l’usine à rêves.

    La France a souvent porté chance à Melvin Van Peebles, qui après une carrière d’acteur prolifique en Amérique, revient y tourner un film : LE CONTE DU VENTRE PLEIN (2000) et y recevoir la Légion d’Honneur.

    Aujourd’hui le Festival du Cinéma Américain de Deauville est honoré d’accueillir un homme insaisissable, inclassable, et libre.

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  • L'hommage du Festival du Cinéma Américain de Deauville 2012 à William Friedkin

    Killer Joe : photo Emile Hirsch, William Friedkin

    Ci-dessus: photo de William Friedkin avec Emile Hirsch sur le tournage de "Killer Joe" ( © Pyramide Distribution )

    Les hommages deauvillais ont laissé beaucoup d'empreintes, sur les célèbres planches mais aussi dans les mémoires des festivaliers. Le plus mémorable restera sans doute pour moi celui décerné à Al Pacino. Que d'émotions et quel beau souvenir. Cette année, c'est d'abord à William Friedkin que le festival a décidé de rendre hommage. Ci-dessous, le communiqué de presse du festival à ce sujet. A noter que William Friedkin donnera également une master class.

    Pour sa 38è édition, le Festival du Cinéma Américain de Deauville rendra hommage, en sa présence, au cinéaste américain WILLIAM FRIEDKIN.

    Né en 1935 à Chicago, William Friedkin découvre son amour du cinéma grâce à « Citizen Kane » d’Orson Welles et débute sa carrière à la télévision. Il fait ses débuts de réalisateur pour le grand écran en 1967 avec la comédie musicale GOOD TIMES, puis avec L’ANNIVERSAIRE (The Birthday Party) d’après la pièce d’Harold Pinter.

    En 1971, FRENCH CONNECTION (The French Connection) consacre William Friedkin auprès de la critique et du public: ce polar inspiré de la véritable histoire de la French Connection, organisation criminelle qui importait depuis la France de l’héroïne jusqu’aux Etats-Unis, remporte 5 Oscars dont celui du Meilleur Film, du Meilleur Acteur pour Gene Hackman et du Meilleur Réalisateur pour William Friedkin. L’énergie de la mise en scène et les scènes anthologiques de courses-poursuites font du film une référence incontournable du film policier. En 1973, il réalise à nouveau un film qui marque durablement le cinéma américain ainsi que l’imaginaire des cinéphiles : avec L’EXORCISTE (The Exorcist) d’après le roman de William Peter Blatty, William Friedkin réalise ce qui reste encore pour beaucoup le film d’horreur absolu. Nommé 10 fois aux Oscars, le film remporte notamment celui du Meilleur Scénario. Ces deux immenses succès coup sur coup font de William Friedkin l’un des auteurs phares du Nouvel Hollywood. Les années suivantes, William Friedkin réalise LE CONVOI DE LA PEUR (Sorcerer), une version américaine du « Salaire de la Peur » d’Henri-Georges Clouzot, qu’il considère comme l’un de ses meilleurs films. Suivent la comédie criminelle TETES VIDES CHERCHENT COFFRES PLEINS (The Brink’s Job) avec Peter Falk en 1978, et LA CHASSE (Cruising) avec Al Pacino en 1980.

    Dans les années 1980 et 1990, William Friedkin réalise LE COUP DU SIECLE (Deal of the Century) avec Sigourney Weaver, le film d’action POLICE FEDERALE LOS ANGELES (To Live and Die in L.A.) avec Willem Defoe, qui lui permet de poursuivre son exploration des frontières entre le bien et le mal, ainsi que les thrillers LE SANG DU CHATIMENT (Rampage) et JADE avec Linda Fiorentino.

    En 2000, alors qu’une version longue de L’EXORCISTE ressort en salles et rapporte 40 millions de dollars au box-office américain, L’ENFER DU DEVOIR (Rules of Engagement) avec Tommy Lee Jones et Samuel L. Jackson sort sur les écrans et est chaleureusement accueilli par le public.

    William Friedkin retrouve Tommy Lee Jones en 2003 grâce au thriller TRAQUÉ (The Hunted) avant de mettre en scène BUG, thriller paranoïaque et claustrophobe avec Ashley Judd et Michael Shannon, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes.

    L’hommage que lui rend le Festival cette année sera l’occasion de découvrir en avant-première son dernier film, KILLER JOE, thriller crépusculaire où Matthew McConaughey, Emile Hirsch et Juno Temple viennent agrandir la galerie de personnages complexes et amoraux de William Friedkin.

    Le Festival du Cinéma Américain de Deauville est heureux de rendre hommage à ce grand maître du film de genre, qui a su bouleverser les codes et investir tant d’univers cinématographiques différents.

    A l’occasion de son Hommage, William Friedkin donnera une MASTER CLASS ouverte aux festivaliers le dimanche 2 septembre.

     

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  • Vidéo - Tony Kaye présente "Detachment" en musique...

    L'effervescence était de retour aujourd'hui à Deauville avec la présence de Naomi Watts à qui le festival rendait hommage ce soir (la semaine prochaine, vous pourrez retrouver mon compte rendu de sa conférence de presse et mes vidéos de son hommage), la présence d'Abel Ferrara, l'avant-première de "Crazy, stupid, love.", comédie réjouissante après une semaine de films en compétition particulièrement sombres et néanmoins de qualité à l'image de "Detachment" dont je vous parlerai ultérieurement mais dont vous pouvez découvrir ci-dessus la présentation inédite par son réalisateur Tony Kaye.

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