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  • Le jury longs métrages du 11ème Festival du Film Asiatique de Deauville

    Schmitt.jpgNous savions déjà qu'Eric-Emmanuel Schmitt présiderait le jury de ce 11ème Festival du Film Asiatique de Deauville. Il sera accompagné de:

    VERONIQUE CAYLA

    Directrice Generale du Centre National de la Cinematographie

    1978-1981 Conseillere Technique Chargee du Cinema au Cabinet du Ministre de la Culture et de la Communication

    1982-1983 Directrice Adjointe de la Videotheque de Paris

    1983-1989 Directrice de la Videotheque de Paris

    1989-1992 Directrice Generale de la Videotheque de Paris

    1992-1998 Directrice Generale du Groupe cinematographique MK2

    1994-1998 Presidente Directrice Generale de LMK-IMAGES SA

    1999-2001 Membre du Conseil Superieur de l’Audiovisuel

    2001-2005 Directrice Generale du Festival de Cannes

    Depuis 2005 Directrice Generale du Centre National de la Cinematographie

    BRUNO DUMONT

    Realisateur et scenariste

    FILMOGRAPHIE

    1997 LA VIE DE JESUS

    1999 L’HUMANITE

    2003 TWENTYNINE PALMS

    2006 FLANDRES

    2009 HADEWIJCH

    VINCENT ELBAZ

    Comedien

    FILMOGRAPHIE SELECTIVE

    1995 LE PERIL JEUNE de Cedric Klapisch

    1996 LA VERITE SI JE MENS de Thomas Gilou

    LES RANDONNEURS de Philippe Harel

    1998 PEUT-ETRE de Cedric Klapisch

    1999 LA PARENTHESE ENCHANTEE de Michel Spinosa

    2000 RUE DES PLAISIRS de Patrice Leconte

    2001 NI POUR NI CONTRE (BIEN AU CONTRAIRE) de Cedric Klapisch

    EMBRASSEZ QUI VOUS VOUDREZ de Michel Blanc

    2004 LE PARFUM DE LA DAME EN NOIR de Bruno Podalydes

    2005 MA VIE EN L’AIR de Remi Bezancon

    2007 BANCS PUBLICS de Bruno Podalydes

    TEL PERE TELLE FILLE de Olivier de Plas

    LE DERNIER GANG de Ariel Zeitoun

    Theatre

    2002 HYSTERIA de Terry Johnson - Mise en scene de John Malkovich

    2007 GOOD CANARY de Zach Helm - Mise en scene de John Malkovich

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    MARIE GILLAIN

    Comedienne

    FILMOGRAPHIE SELECTIVE

    1991 MON PERE CE HEROS de Gerard Lauzier

    1995 L'APPAT de Bertrand Tavernier

    1996 LES AFFINITES ELECTIVES de Vittorio et Paolo Taviani

    1997 LE BOSSU de Philippe de Broca

    1998 LE DERNIER HAREM de Ferzan Ozpetek

    LE DINER de Ettore Scola

    2001 ABSOLUMENT FABULEUX de Gabriel Aghion

    BARNIE ET SES PETITES CONTRARIETES de Bruno Chiche

    2002 NI POUR NI CONTRE (BIEN AU CONTRAIRE) de Cedric Klapisch

    LAISSER PASSER de Bertrand Tavernier

    2005 L'ENFER de Danis Tanovic

    2007 PARS VITE ET REVIENS TARD de Regis Wargnier

    MA VIE N'EST PAS UNE COMEDIE ROMANTIQUE de Marc Gibaja

    FRAGILE(S) de Martin Valente

    LA CLEF de Guillaume Nicloux

    2008 LA TRES TRES GRANDE ENTREPRISE de Pierre Jolivet

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    2009 COCO AVANT CHANEL de Anne Fontaine

    DIDIER LONG

    Metteur en scene

    SELECTION THEATRE

    1995 LE ROMAN DE LULU - creation de David Decca

    1998 MADEMOISELLE ELSE - d'apres Arthur Schnitzler

    2000 BECKET de Jean Anouilh

    2001 JALOUSIE EN TROIS FAX de Esther Vilar

    2003 MATHILDE de Veronique Olmi

    LES BRAISES de Sandor Marai

    2005 MADEMOISELLE JULIE d'August Strindberg

    RICHARD III de William Shakespeare

    2006 LA DERNIERE NUIT POUR MARIE STUART de Wolfgang Hildesheimer

    LE GARDIEN de Harold Pinter

    2007 LA VIE DEVANT SOI - d'apres le roman de Romain Gary

    LA JEUNE FILLE ET LA MORT de Ariel Dorfman

    2008 EQUUS de Peter Shaffer

    QU'EST-IL ARRIVE A... BETTE DAVIS ET JOAN CRAWFORD de Jean Marboeuf

    MASTER CLASS de Terence Mac Nally

    LUDIVINE SAGNIER

    Comedienne

    FILMOGRAPHIE SELECTIVE

    1999 GOUTTES D’EAU SUR PIERRES BRULANTES de Francois Ozon

    2000 MA FEMME EST UNE ACTRICE de Yvan Attal

    JEU D’ENFANTS de Laurent Tuel

    2001 PETITES COUPURES de Pascal Bonitzer

    HUIT FEMMES de Francois Ozon

    2003 PETER PAN de P. J. Hogan

    LA PETITE LILI de Claude Miller

    SWIMMING POOL de Francois Ozon

    2005 PARIS JE T’AIME de Alfonso Cuaron

    LA CALIFORNIE de Jacques Fieschi

    UNE AVENTURE de Xavier Giannoli

    2006 LA FILLE COUPEE EN DEUX de Claude Chabrol

    UN SECRET de Claude Miller

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    MOLIĒRE de Laurent Tirard

    2007 L’ENNEMI PUBLIC N°1- L’INSTINCT DE MORT de Jean-Francois Richet

    A suivre ces prochains jours sur "In the mood for Deauville": la suite du programme du 11ème Festival du Film Asiatique de Deauville

  • Regards sur le travail de LEE YOON-KI

    Depuis quelques années, le Festival a décidé de porter son regard sur le travail de cinéastes émergents. Après le réalisateur, scénariste et comédien hong-kongais Fruit Chan (en 2005), le réalisateur japonais Ryuichi Hiroki (en 2006), et le cinéaste malais James Lee (en 2007), le Festival s’attardera cette année sur le travail du réalisateur sud-coréen LEE Yoon-ki.

    BIOGRAPHIE

    Né le 1er juillet 1965 à Daejon en Corée du Sud, Lee Yoon-ki suit des études commerciales à l’université de Southern California (USC) aux Etats-Unis. De retour dans son pays natal, il entame une carrière de producteur et réalise plusieurs courts métrages. Son premier long métrage, « This Charming Girl », dont il a également écrit le scénario, remporte le Prix de la Révélation au festival de Pusan en 2004. Ce portrait intimiste d’une jeune fille solitaire est ensuite sélectionné dans de nombreux autres festivals internationaux, dont le festival de Deauville où il obtient le Prix du Jury. Son second film, « Love Talk », entièrement tourné aux Etats-Unis, raconte les difficultés d’adaptation rencontrées à Los Angeles par des expatriés d’origine sud-coréenne. Son troisième long métrage, « Ad Lib Night », un drame au style épuré sur la douleur intérieure, est présenté dans le cadre du Forum du festival de Berlin en 2006 et remporte le Prix de la Critique au Festival du Film Asiatique de Deauville. « My Dear Enemy » est son quatrième long métrage.

    FILMOGRAPHIE

    Réalisateur et scénariste

    2004 YEOJA, JEONG-HYE (This Charming Girl)

    2005 REABEU TOKEU (Love Talk)

    2007 AJU TEUK BYUL HAN SONNIM (Ad Lib Night)

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    2008 MEOZZIN HARU (My Dear Enemy)

  • Hommage à Lee Chang-dong

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    Après avoir rendu hommage à Amitabh Bachchan (en 2003), Takashi Miike (en 2005), Park Chanwook (en 2007), ou encore Jiang Wen et Im Kwon-taek (en 2008), le Festival du Film Asiatique de Deauville rendra hommage, pour cette 11e édition, au réalisateur et scénariste sud-coréen, LEE Chang-dong.

     

    BIOGRAPHIE

    Né le 1er avril 1954 à Daegu en Corée du Sud, Lee Chang-dong obtient un diplôme de littérature coréenne à l'université Kyungbuk de Daegu en 1980. La Corée du Sud subit à cette époque une dictature militaire et Lee Chang-dong prend part aux manifestations étudiantes contre le régime. Il se consacre parallèlement à l’écriture et à la mise en scène de pièces de théâtre et, après avoir  enseigné brièvement le coréen au lycée, écrit son premier roman, Chonri (1983), qui évoque les émeutes sanglantes de 1980 à Kwangju. Lee Chang-dong se place dans un registre polémique qu'il conservera dans toutes ses oeuvres futures et devient l'un des auteurs les plus reconnus dans son pays avec Burning Papers (1987) et Nokcheon (1992). Son entrée dans le milieu du cinéma se fait par l'entremise de Park Kwang-su, considéré comme le leader du Nouveau Cinéma coréen, qui lui propose l'écriture de deux scénarios : « To the Starry Island » (1993) et « A Single Park » (1995). Lee Chang-dong décide de passer derrière la caméra en 1997 avec « Green Fish », dont il est également le scénariste. Cette critique de la société sud-coréenne, qui raconte l'ascension d'unjeune homme dans l'univers du crime, est un succès et son film est présenté dans de nombreux festivals internationaux. Son deuxième long métrage, « Peppermint Candy » (1999), est présenté à la Quinzaine des Réalisateurs. Le film met une nouvelle fois en exergue les séquelles de la dictature militaire (le massacre de Kwangju, la torture dans les commissariats, la crise économique de 1997…). Son troisième film, « Oasis », l'histoire d’amour atypique entre un jeune homme attardé souffredouleur et une handicapée physique, le consacre définitivement avec près d'un million et demi d'entrées en Corée du Sud et trois prix obtenus lors du festival de Venise en 2002, dont le Prix de la mise en scène. Début 2003, Lee Chang-dong est nommé ministre de la Culture de la Corée du Sud au gouvernement du président Roh Moo-hyun et doit faire face à l'imposition de quotas sur les productions américaines, permettant ainsi un développement des productions locales. Il quitte son poste l’année suivante, éreinté par cette expérience dans un monde qui lui est étranger. En octobre 2006 Lee Chang-dong est fait Chevalier de la Légion d'honneur pour « sa contribution au maintien des quotas afin de promouvoir la diversité culturelle en tant que ministre de la Culture ». En 2007, il présente son dernier film, « Secret Sunshine », en compétition officielle au Festival de Cannes. Jeon Do-yeon, la comédienne principale de ce mélodrame, obtient le prix d’interprétation féminine.

    FILMOGRAPHIE

    Réalisateur et scénariste

    1997 CHOROK MULKOGI (Green Fish)

    1999 BAKHA SATANG (Peppermint Candy)

    2002 OASIS

    2007 MILYANG (Secret Sunshine)

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  • La Corée: pays à l'honneur du 11ème Festival du Film Asiatique de Deauville

    deauvilleasia2.jpgAprès le Japon en 2008, le Festival du Film Asiatique de Deauville 2009 mettra à l’honneur un autre pays du continent asiatique. Pour cette 11e édition, Le Festival proposera au public de voir ou revoir les films de cinéastes coréens emblématiques.

    La Corée, pays incontournable dans le paysage cinématographique mondial, a souvent été représentée durant ces 10 dernières années au Festival du Film Asiatique de Deauville, où Kim Ki-duk, Park Chan-wook, Im Kwon-taek, Shing Sang-ok (vous pouvez trouver plusieurs critiques des films de ces réalisateurs sur ce blog) nous ont fait partager son histoire complexe.

    A travers une programmation riche et variée, cette édition sera l’occasion pour les festivaliers de découvrir ou redécouvrir sa topographie. Ces dernières années marquent l’apparition d’une nouvelle génération de cinéastes reconnus dans le monde entier.

  • Eric-Emmanuel Schmitt, président du jury du 11ème Festival du Film Asiatique de Deauville

    Schmitt.jpgC'est Eric-Emmanuel Schmitt qui présidera le jury du 11ème Festival du Film Asiatique de Deauville. A ce sujet, il a déclaré:  « Saviez-vous que les Planches de Deauville donnent aussi sur la mer de Chine et l’océan Indien ? Pour trouver le passage, il suffit de passer par l’écran du Festival du Film Asiatique dont je suis très fier d’être, au printemps, le prochain président. »

    BIBLIOGRAPHIE SELECTIVE

    SELECTION THEATRE :

    1993 LE VISITEUR

    Trois Molières en 1994 : Meilleur Auteur, Révélation Théâtrale, Meilleur Spectacle

    1995 GOLDEN JOE

    1996 VARIATIONS ENIGMATIQUES

    1997 LE LIBERTIN

    1998 FREDERICK OU LE BOULEVARD DU CRIME

    2000 HOTEL DES DEUX MONDES

    2001 Grand Prix du Théâtre de l’Académie française pour l’ensemble de son oeuvre

    2003 PETITS CRIMES CONJUGAUX

    2005 LA TECTONIQUE DES SENTIMENTS

    SELECTION RECITS :

    1997 MILAREPA*

    2001 MONSIEUR IBRAHIM ET LES FLEURS DU CORAN*

    2003 OSCAR ET LA DAME ROSE*

    Prix Jean Bernard de l’Académie de Médecine

    Prix Chronos

    2004 L’ENFANT DE NOÉ*

    Prix Rotary

    2006 ODETTE TOULEMONDE ET AUTRES HISTOIRES

    2007 LA REVEUSE D’OSTENDE

    * Récits appartenant au Cycle de l’Invisible

    SELECTION ROMANS :

    1995 LA SECTE DES EGOISTES

    Prix du premier roman

    2000 L’EVANGILE SELON PILATE

    Grand Prix des lectrices de ELLE

    2001 LA PART DE L’AUTRE

    2002 LORSQUE J’ETAIS UNE OEOEOEOEUVRE D’ART

    2008 ULYSSE FROM BAGDAD

    FILMOGRAPHIE

    2007 ODETTE TOULEMONDE

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  • Bilan du Festival du Film Asiatique de Deauville 2008 (suite et fin) : en attendant septembre et le 34ème Festival du Cinéma Américain…

    740985291.jpgJe vous l’écrivais dès dimanche soir en direct de Deauville : c’est le film coréen  « With a girl of black soil » qui a remporté le grand prix (Lotus d’or) ainsi que le prix de la critique internationale (Lotus Air France). Un film sombre dans sa mise en scène comme dans son sujet, poignant, qui économise les dialogues, un film tout en retenue, réaliste dans sa forme (avec un style quasi documentaire), un film qui reflète la réalité sociale de son pays. Ces caractéristiques se retrouvent  ainsi dans la quasi-totalité des films en compétition, de surcroît des premiers films pour 8 d’entre eux.  Elles se retrouvent d’ailleurs également dans les deux autres films lauréats : « Wonderful town » et « Flower in the pocket », récompensés du prix du jury ex aequo.

    « Flower in the pocket » met ainsi en scène de998218804.jpgux jeunes frères, en Malaisie, dont le père, anéanti par la mort (ou le départ, rien n’est dit à ce sujet) de son épouse, ne s’occupe plus, bien qu’habitant avec eux. Ils sont livrés à eux-mêmes et la première partie du film se déroule d’ailleurs en l’absence du  père nous laissant ignorer son existence. Les rôles sont inversés : les enfants préparent à manger à leur père, adoptent un chiot abandonné, allégorie de leur propre solitude et abandon. Le père et les enfants ne font que se croiser sans échanger un mot (le père parle d’ailleurs très peu, enfermé dans sa douleur et son mutisme). Là encore,  comme dans la plupart des films en compétition de cette édition 2008, le cinéaste recourt à une économie de dialogues. Malgré la rudesse de leurs conditions de vie, malgré le sujet pesant, ce film est empreint d’une légèreté paradoxalement profonde, jalonné de scènes attendrissantes entre les deux enfants qui ne semblent d’ailleurs pas souffrir de la situation. La souffrance est surtout celle du père, aveuglé par celle-ci, dévoré par son passé comme lui-même en dévorera la photo qui en est le témoignage. Et puis, en silence, doucement, en réalisant que ses fils ont su faire ce à quoi lui n’est pas parvenu (faire abstraction de leur manque pour s’occuper de « quelqu’un d’autre », en l’occurrence un animal, mais aussi en s’occupant l’un de l’autre), en les découvrant malades, il va enfin  devenir présent. Le dernier plan nous les montre ensemble dans un véhicule avançant, allant symboliquement vers l’avant, regardant dans la même direction, et cette fois le père n’est plus enfermé dans sa douleur mais enfermé avec ses enfants, s’ouvrant ainsi à eux et au monde. Ensemble, vraiment, enfin. Un film drôle (les deux enfants sont d'une malice et d'une ingénuité particulièrement touchantes), attendrissant, réaliste. En espérant que ce film sortira en salles, je vous laisse découvrir l’explication du titre qui résume toute sa drôlerie tendre. Un film qui, à l’image de la plupart de ceux de cette compétition 2008, s’inspire à la fois du cinéma britannique (pour son aspect social)et du néoréalisme italien tout en conservant la lenteur propre au cinéma asiatique.

    Il est particulièrement frappant de voir que 7 films en compétition sur 11 mettent en scène des enfants livrés à eux-mêmes, ou en tout cas des enfants dont on souligne la grande solitude, voire l’opposition à l’autorité parentale. Des films ancrés dans la réalité, moins langoureux ou poétiques que ce à quoi le cinéma asiatique nous a habitués et quand ils le sont encore (comme dans le très beau « Keeping watch »), l’issue n’en est pas moins fatale et la réalité pas moins âpre. Cette solitude, cet égarement sont peut-être le symbole d’une Asie écartelée entre tradition (paternité) et modernité  (apport du monde extérieur), une Asie qui cherche son identité dans la mondialisation, alors aliénante. Espérons vraiment qu’elle ne la perdra pas, que le cinéma asiatique conservera (et je pense surtout au cinéma coréen vers lequel va ma préférence) la poésie savoureuse,  la lenteur languissante,  la beauté formelle allégorique, les sublimes silences qui le caractérisent et l’enrichissent, tout comme ce festival, cette traversée sombre et éclairante d’un continent encore pour moi mystérieux et non moins fascinant, m’a enrichie. Malgré le temps exécrable qui a raréfié les promenades, le dépaysement et le voyage étaient donc au rendez-vous, et même si l’affluence semblait moins importante que les années passées, la programmation n’en était pas moins de très bonne qualité, prouvant la modernité et l’inventivité du cinéma asiatique.

    J’en profite également pour vous recommander deux excellents blogs de passionnées, que j’ai le plaisir de connaître, consacrés à ce Festival du Film Asiatique 2008 : La Plume et l’Image et Cinemaniac à Deauville.

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    Statuettes asiatiques au Village Asia
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    Manifestation (...de 3 personnes:-)) pour le Tibet sous le ciel sombre de Deauville

    Je vous donne d’ores et déjà rendez-vous sur « In the mood for Deauville » pour le prochain Festival du Cinéma Américain de Deauville qui se déroulera du 5 au 14 septembre 2008 et où je serai bien entendu, comme chaque année, pour vous en faire un compte-rendu aussi exhaustif que possible, à l’image de celui de l’an passé dont vous pouvez retrouvez tous les articles sur ce blog. Tout au long de l’année, jusqu’en septembre, retrouvez également sur ce blog toutes les informations concernant ce 34ème Festival du Cinéma Américain que je ne manquerai pas de vous livrer. En attendant, je vous invite à faire part de vos attentes et vos questions concernant ce Festival du Cinéma Américain de Deauville 2008, dans les commentaires ci-dessous.

     Pour suivre le reste de l’actualité cinématographique, je vous donne rendez-vous sur mon blog « In the mood for cinema », et sur « In the mood for Cannes », pour toute l’actualité du Festival de Cannes 2008.

    Sandra.M